Blagues ingénieur vs. physicien vs. mathématicien

Aujourd’hui quelques lignes pour vous faire rire…

On demande à plusieurs scientifiques : « Combien vaut pi ? »
L’ingénieur répond : « C’est approximativement 3 et 1/7. »
Le physicien dit : « C’est 3,14159 »
Le mathématicien réfléchit un instant et répond : « C’est égal à pi ».

Un mathématicien et un ingénieur assistent à la conférence d’un éminent
physicien concernant les théories de Kaluza-Klein sur les processus physiques
intervenant dans les espaces de dimension 9.
Le mathématicien est assis et apprécie beaucoup la conférence, pendant que
l’ingénieur fronce les sourcils et semble complètement embrouillé.
A la fin, le mathématicien et l’ingénieur, qui a un énorme mal de crâne,
commentent la conférence.
L’ingénieur : « Comment fais-tu pour comprendre tout cela ? »
Le mathématicien : « Il suffit de visualiser le processus. »
L’ingénieur : « Mais comment peux-tu visualiser un processus intervenant
dans un espace de dimension 9 ??? »
Le mathématicien : « C’est simple. D’abord tu visualises le processus en
dimension n, et ensuite il suffit de prendre n=9. »

Un biologiste, un physicien et un mathématicien sont assis à la terrasse
d’un café et regardent les passants.
De l’autre côté de la rue, ils voient un homme et une femme entrer dans un
immeuble. 10 minutes plus tard, ils ressortent avec une troisième personne.
 — Ils se sont multipliés, dit le biologiste.
 — Oh non, une erreur de mesure, s’écrie le physicien.
 — S’il rentre exactement une personne dans l’immeuble, il sera de nouveau
vide, conclut le mathématicien.

Un mathématicien, un physicien et un ingénieur voyagent à travers l’Ecosse
et voient un mouton noir par la fenêtre du train.
« Aha, » dit l’ingénieur, « je vois que les moutons écossais sont noirs. »
« Hmm, » dit le physicien, « tu veux dire que certains moutons écossais sont
noirs. »
« Non, » dit le mathématicien, « tout ce qu’on sait est qu’il y a au moins un
mouton en Ecosse, et qu’au moins un côté de ce mouton est noir ! »

8 réponses
  1. sjaubert
    sjaubert dit :

    Cette dernière blague me rappelle une anecdote tirée d’une histoire vraie.
    Le physicien Pauli voyage avec un ami dans un train. Ils voient dans un champs quelques moutons broutant de l’herbe, l’ami de Pauli lui fait la remarque, que ceux-ci sont tondus très ras et Pauli répond « oui, d’un côté seulement… »

    Répondre
  2. Mathoman
    Mathoman dit :

    Mais le plus drôle, c’est que j’ai reçu la deuxième blague dans un email et qu’on y parlait de la théorie de Kulza-Klein au lieu de Kaluza-Klein. Et quand on cherche « Kulza-Klein » sur internet on trouve une centaine de pages qui contiennent la blague en plusieurs langues mais avec cette erreur !! Ce qui prouve que l’internet est une formidable outil… à propager des erreurs.

    Répondre
  3. Fabien Besnard
    Fabien Besnard dit :

    La dernière est en effet très amusante. Dans la rubrique ingénieur/physicien/matheux j’en ai une autre, qui est assez connue je crois. Nos trois compères se trouvent dans une chambre d’hôtel (ne me demandez pas ce qu’ils y font). Alors qu’ils dorment du sommeil du juste, l’ingénieur se réveille en sentant une odeur de brûlé provenant du couloir. Il sort et voit qu’un incendie est en train de démarrer. Il s’empare immédiatement d’un sceau qui fort opportunément se trouvait là, court le remplir d’eau à ras bord, et éteint l’incendie dans l’oeuf.
    Le lendemain, l’ingénieur raconte sa mésaventure à ses amis, puis quitte l’hôtel. La nuit, le physicien se réveille en sursaut : encore un départ d’incendie dans le couloir. Il observe un moment, calcule le volume exact d’eau nécessaire pour l’éteindre, remplit le seau de la bonne quantité à la goutte près, et éteint l’incendie.
    Le troisième jour, le mathématicien se retrouve seul. Il se réveille, sort dans le couloir et s’avise qu’un incendie est encore en train de se propager. Il repart alors se coucher en marmonant : "Très bien, nous sommes ramenés à un cas précédent".

    Répondre
  4. Mathoman
    Mathoman dit :

    Haha, et le plus drôle c’est qu’il éteint le feu avec un « sceau » comme tu écris, et pas avec un « seau »… Ah, le sens pratique des ingénieurs français 😉

    Répondre

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *